Cet incident survient moins d’une semaine après le déplacement d’environ 3 500 civils vers la base de la MONUSCO à Gina, à la suite d’affrontements entre deux milices rivales dans le territoire de Djugu.
Jusqu’au 10 octobre, des instructeurs indonésiens, népalais, bangladais et marocains dispensent des modules variés allant des télécommunications (utilisation de GPS et de drones) à l’informatique, en passant par les premiers secours, la conduite de poids lourds et les techniques de tir.