Arrivée en février 2021 à la tête d’une mission parmi les plus exposées au monde, Bintou Keita a pris les rênes de la MONUSCO dans un contexte d’interminables offensives, de violences armées répétées, d’apparente impuissance et de pression grandissante sur les effectif
Centre de presse

Réunis pendant trois jours, 75 acteurs locaux ont contribué à la validation du plan, parmi lesquels les bourgmestres des cinq communes d’Oicha, Mangina, Kyondo, Bulongo et Lume, des chefs de chefferies et de secteurs, des représentants de l’Agence nationale de renseignements (ANR), ainsi que des membres de la société civile.

Les autorités locales, les Forces armées de la République démocratique du Congo et les déplacés internes ont unanimement salué l’action du contingent népalais.

Le projet a été lancé à la suite de l’attaque survenue en mars 2025 contre les camps de Djaiba et de Lodha, attribuée aux rebelles de la CODECO, qui avait fait plus de 70 morts.

Les discussions ont mis en évidence les conséquences des violences numériques, notamment sur la santé mentale, le parcours scolaire et l’insertion sociale des victimes.

À l’issue de la formation, un certificat d’apprentissage délivré par le ministère de la Formation professionnelle a été remis à chacun.

Les échanges ont mis en évidence l’impact concret des rumeurs et des discours de haine, déjà à l’origine de violences meurtrières à Butembo ces dernières années.

La cérémonie de lancement organisée à Tchomia a été marquée par la pose de la première pierre de l’usine, en présence des leaders communautaires, des autorités locales et des partenaires du projet.
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