Dans son message à l'occasion de la célébration de cette journée, le Secrétaire général des Nations Unies, Monsieur Ban Ki-moon, a fait savoir que : « s'il est facile de dénoncer la pauvreté, il est plus ardu de la combattre. Les personnes qui souffrent de la faim, vivent dans le dénuement et sont atteintes dans leur dignité, ont besoin de plus que de l'expression de notre compassion; elles ont besoin d'un soutien concret ».

Les militaires et le contingent de Police sénégalais servant au sein de la MONUSCO basée à INCAL, ont reçu, le 15 octobre, la visite de leur Président de la République, Son Excellence Monsieur MAKCY SALL, venu assister au XIVème Sommet de la Francophonie tenu à Kinshasa. A cette occasion, le Président Macky SALL a rendu hommage au gendarme Sadia FATY, de la SENFPU-2, décédé le 6 Octobre 2012 à Kananga, des suites d'une noyade.

« Le Sénégal est engagé depuis son indépendance aux Opérations de maintien de la paix de l'Onu. La présence du Sénégal en RDC remonte à 1960 avec l'ONUC. Ensuite, il y a eu les Opérations Shaba 1et Shaba 2 en 1974 ...Je voudrais, en ma qualité de commandant suprême de l'armée sénégalaise, saluer et encourager nos troupes dans leur noble mission », a déclaré le Président sénégalais.

Le 15 octobre 2012, dans la province du Sud-Kivu, la Cour militaire a condamné18 personnes à des peines allant de 30 mois à 20 ans de servitude pénale principale pour plusieurs infractions dont celles des crimes contre l'humanité par emprisonnement, viol, pillage et autres actes inhumains. Le BCNUDH, en collaboration avec le PNUD, Avocats sans Frontières et des ONG locales, a appuyé la Cour, en assurant le déplacement, la prise en charge psycho-juridique et la protection des victimes. Le BCNUDH salut aussi un second jugement au Sud-Kivu, le même jour, où le Tribunal militaire de garnison de Bukavu, siégeant en audience foraine à Walungu, a condamné quatre soldats des FARDC, dont trois par contumace, pour crimes de guerre par viol, torture, pillages et attaques contre des bâtiments religieux. La Cour a appliqué directement le Droit international pénal relatif aux crimes de guerre, plus particulièrement le Statut de Rome, dans le contexte particulier d'un conflit armé à l'Est de la RDC.

Le 12 octobre, à Kananga, province du Kasaï Occidental, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l'Homme (BCNUDH) a fourni un appui logistique et institutionnel au Parquet de grande instance, à l'Auditorat militaire de garnison et au bataillon de la Police spéciale de protection des femmes et enfants. Un lot de matériel et de fournitures de bureau d'une valeur de 10 000 dollars américains a été remis aux autorités judiciaires et à la Police. L'objectif de ce don – fourni dans le cadre d'un projet financé par l'Agence suédoise de coopération internationale au développement – vise à contribuer à l'amélioration des conditions de travail des officiers de police judiciaire, magistrats et juges afin de les aider à lutter plus efficacement contre l'impunité prévalant à l'égard des cas de violences sexuelles à travers la province.

En date du 24 octobre, sera célébrée la Journée des Nations Unies. Cette date marque l'anniversaire de l'entrée en vigueur, en 1945, de la Charte des Nations Unies. A l'instar des autres pays, la Journée des Nations Unies 2012 sera l'occasion de mener des activités visant à rappeler les idéaux des Nations Unies et parler de l'action du Système des Nations Unies en RDC.

Pour ce faire, une cérémonie officielle est prévue au Quartier Général de la MONUSCO, ainsi qu'une visite par le personnel du Système des Nations Unies, dans des établissements scolaires, pour informer les élèves et échanger avec eux sur l'ONU, son rôle et ses activités.

Le 10 octobre, les Affaires civiles ont assisté les jeunes de la Société civile du Masisi, dans la mise en place d'une nouvelle cellule multi-ethnique de la Société civile qui aura pour vocation de promouvoir une cohabitation paisible entre toutes les communautés, et qui fera la promotion de la tolérance. Environ 40 jeunes de la ville de Masisi et Lushebere vont sensibiliser les jeunes des localités environnantes sur ce thème.

Du 10 au 13 octobre, la Section des Affaires Civiles de la MONUSCO à Goma a organisé un atelier sur la priorisation des conflits inter et intra-communautaires et l'analyse de risques liés à ces derniers dans le Nord- Kivu pouvant permettre de faire une mise à jour de la cartographie des conflits. Cet exercice de priorisation a permis de classer les conflits à trois niveaux de priorité et par la suite, déterminer les zones prioritaires d'intervention. Il a également pour but de mettre en place un Comité Technique d'Analyse et d'Appui à la Planification (CTAA) et d'actualiser la base de données des conflits dans les Territoires de Masisi, Rutshuru, Walikale et Nyiragongo. Il permettra à la Section des Affaires Civiles de la MONUSCO et à ses partenaires d'élaborer des plans conjoints de leurs activités de gestion des conflits ainsi que des approches stratégiques à adopter.

Du 08 au 22 octobre, il se tient à Bunia, une formation de remise à niveau de cinq formateurs de la Police Nationale Congolaise du district de l'Ituri, dans la Province Orientale. Cette formation est organisée en prélude aux prochaines sessions de formation des Officiers de Police Judiciaire de la Police Nationale Congolaise, dans le domaine de la lutte contre les violences sexuelles. Elle est financée par le Peace Building Fund et exécutée par la Police MONUSCO.

La production des duplicatas de cartes d'électeurs se poursuit dans les différentes Antennes locales de la CENI. La demande de duplicata de cartes d'électeurs demeure importante dans les provinces du Katanga et du Nord Kivu. Dans la ville-province de Kinshasa, la Section Electorale de la MONUSCO continue à fournir son soutien logistique au Secrétariat Exécutif Provincial de la CENI Kinshasa, pour le ravitaillement en cartes vierges dans les Antennes Locales de Ngaliema et de la Gombe.

La France a officialisé lundi 15 octobre, un don de 1 million d'euros au Programme alimentaire mondial (PAM), à l'occasion de la visite à Goma, de la Ministre française en charge de la Francophonie, Madame Yamima Benguigui. Ce don permettra de nourrir près de 100 000 personnes déplacées pendant un mois. Au Nord-Kivu, la Ministre a rencontré la communauté humanitaire et visité le camp de déplacés de Kanyaruchinya, qui accueille quelques 57 000 personnes déplacées.

L'importante participation des jeunes Congolais au jeu « Freerice » a rapporté plus de 40 000 grains de riz en trois jours. Il s'agissait de répondre à des questions sur la langue française ou la francophonie. Chaque bonne réponse rapportait 10 grains de riz. Ce qui veut dire que les Congolais ont donné plus de 4 000 bonnes réponses. Les grains de riz récoltés sont payés par les sponsors du site internet et reversés au PAM, pour venir en aide à ceux qui ont faim dans le monde. Le jeu continue sur internet, en jouant dans le groupe Francophonie PAM.RDC 2012.

Quelques 226 000 écoliers du Nord-Kivu bénéficieront tout au long de l'année scolaire en cours, des repas dans 380 écoles de la province. Le PAM livre 600 tonnes de vivres dans 246 écoles des territoires de Masisi et de Rutshuru, dans le cadre de son programme de cantines scolaires.

Le Bureau Régional du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés en RDC organise une importante mission des bailleurs de fonds du 21 au 27 octobre 2012. La mission se rendra respectivement à Goma dans le Nord Kivu et à Dongo dans la province de l'Equateur. Elle visitera à cette occasion les activités du HCR dans le cadre de la protection des réfugiés et des déplacés internes et s'entretiendra également avec ces derniers. Par ailleurs, des rencontres de haut niveau sont également prévues avec quelques autorités centrales en charge des questions sociales et humanitaires en RDC.

« S'il est facile de dénoncer la pauvreté, il est plus ardu de la combattre. Les personnes qui souffrent de la faim, vivent dans le dénuement et sont atteintes dans leur dignité, ont besoin de plus que de l'expression de notre compassion; elles ont besoin d'un soutien concret. » : Ce sont les mots d'introduction du message du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, commémorée ce mercredi 17 octobre 2012.

En République démocratique du Congo, sept ménages sur dix sont pauvres, les femmes et les personnes vivant en zone rurale étant les plus touchées par la pauvreté.

Ensemble, le gouvernement et les Nations Unies unissent leurs efforts afin de réduire la pauvreté dans le pays et d'atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement. Des stratégies ont été élaborées à cette fin parmi lesquelles : le Document de la Stratégie de Croissance et de Réduction de la pauvreté-2 et le Plan-cadre des Nations Unies pour l'assistance au développement, UNDAF, pour la période 2013-2017.

Les priorités de l'UNDAF pour lutter contre la pauvreté concernent la création d'emplois et de revenus, l'amélioration de l'accès des populations à des services sociaux de base de qualité, l'élargissement du Programme d'élimination de la transmission du VIH-SIDA des parents à l'enfant ainsi que des traitements et soutiens aux personnes vivant avec le VIH, la gestion des ressources naturelles et la mise en œuvre de stratégies et politiques environnementales.

Le premier rapport sur la Francophonie et le VIH-SIDA a été lancé vendredi 12 octobre 2012 dernier, à Kinshasa, à l'occasion du 14^ème Sommet de la Francophonie. L'article 30 de la Déclaration finale du Sommet reprend les grandes lignes de ce rapport en appelant à une gouvernance plus efficace et plus équitable des systèmes de santé, à l'élaboration de modèles de financement durable et à un meilleur accès aux médicaments et aux soins.

La construction de cet espace, mise en œuvre par l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), a pour objectif de contribuer au rétablissement de la confiance entre la population et la Police, grâce à des activités de renforcement des capacités humaines et matérielles, mais aussi par des actions concrètes en soutien à la réconciliation entre les communautés affectées par la guerre de 1997 à 2007.

Cette activité entre dans le cadre d'un programme, financé par le Département d'Etat des Etats-Unis, visant à améliorer la lutte contre les violences sexuelles et basées sur le genre.

Grâce à un nouveau financement de 2 millions et demi de dollars américains, la Communauté internationale, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le gouvernement congolais vont pouvoir renforcer leurs activités visant à préparer la République démocratique du Congo (RDC) au mécanisme pour la Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts, connu sous l'acronyme (REDD+).

La stratégie nationale pourra ainsi être finalisée et présentée à la Conférence des parties sur le changement climatique prévue en fin d'année à Doha, faisant ainsi de la RDC, l'un des cinq premiers pays au monde à être doté d'une stratégie.

Parmi les autres activités mises en œuvre dans le cadre de cette préparation, figurent le renforcement des capacités et la décentralisation du processus. La REDD+ a pour objectif de récompenser financièrement les pays qui réduisent la déforestation et la dégradation de leurs forêts et qui augmentent les stocks de carbone forestier, contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique.

Avec ses 145 millions d'hectares de forêts tropicales, la RDC dispose ainsi d'un capital naturel exceptionnel qu'elle peut faire fructifier et qui devrait contribuer au développement durable du pays.

L'UNESCO, en partenariat avec « Action pour une presse indépendante au Congo » (APIC), organise ce mercredi 17 octobre 2012 à Kinshasa, un atelier de formation aux nouvelles technologies de l'information et de la communication à l'intention de 60 journalistes membres du réseau des femmes des médias de la RD Congo.

Il est en effet avéré que les technologies de l'information et de la communication sont désormais des outils essentiels pour le travail des journalistes et des médias dans le monde entier. Des outils qui les accompagnent dans l'exercice de leur fonction, qu'il s'agisse de la collecte, de l'archivage, du traitement ou encore de la diffusion de l'information.

Dans le cadre de la célébration des 10 ans de la Cour Pénale Internationale, la CPI et l'ONG RCN Justice & Démocratie organisent trois journées scientifiques du 23 au 25 octobre 2012 à Kinshasa sur le thème : « Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale, dix ans après : Etat des lieux et perspectives pour la justice congolaise ». Une activité financée grâce au soutien de l'Ambassade des Pays-Bas en RDC. La juge de la CPI, Mme Fatoumata Dembele Diarra, prononcera le discours inaugural de ces journées.

La situation sécuritaire est demeurée calme à l'Ouest de la République démocratique du Congo la semaine dernière.

A Kinshasa, des patrouilles régulières ont été menées par la Force de la MONUSCO dans la période couvrant la tenue du 14^ème sommet de la Francophonie, dans le but de surveiller la situation sécuritaire et de dissuader toute action susceptible de compromettre le bon déroulement des travaux dudit sommet.

L'environnement sécuritaire quoique stable sur l'étendue de la Province Orientale, reste cependant imprévisible dans la région du parc national de la Garamba où la présence d'éléments résiduels des groupes armés a été signalée. A cet effet, le 9 octobre 2012, dans le cadre de l'opération conjointe MONUSCO-FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) dénommée « Chuma ngumi » (Le poing d'acier), les Forces Spéciales Guatémaltèques ont mené quatre (04) patrouilles aériennes au-dessus de la zone précitée, dans le but d'évaluer la situation sécuritaire, et de protéger les populations locales contre les groupes armés ; notamment l'Armée de Résistance du Seigneur (LRA).

En Ituri, la Force de la MONUSCO et les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) poursuivent leur campagne de sensibilisation dans le cadre de l'opération conjointe « Eagle claw » (Les Serres de l'aigle), au profit des populations civiles résidant au Sud du territoire d'Irumu, mais aussi des miliciens du Front de Resistance Patriotique de l'Ituri (FRPI).

Les activités néfastes du M23 sur les populations civiles, celles des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) et des Mayi-Mayi, continuent de rendre la situation sécuritaire tendue au Nord-Kivu.

La présence d'éléments du groupe Badege allié du M23, dans la localité de Mpati, a provoqué le déplacement massif des populations locales gagnées par la peur, vers d'autres localités. Toutefois, la situation est revenue à la normale, suite au contrôle de cette localité par les forces gouvernementales, et un retour progressif des déplacés a été noté depuis lors.

Suite aux accrochages les ayant opposé aux FDLR, les éléments du M23 ont décroché de leurs positions de Nyamilima-centre, qui ont été réoccupées par les combattants Mayi-Mayi.

La Force de la MONUSCO continue d'afficher une présence robuste dans les régions affectées, afin de mieux sécuriser les populations civiles. A cet effet, dans le cadre de l'opération « Usalama Idadi » (La paix certaine), elle a déployé dans le village de Pinga des unités des Forces Spéciales Jordaniennes, qui contrôlent présentement la localité par la conduite régulière de patrouilles dissuasives.

A Goma, une baisse significative d'incidents liés au banditisme urbain a été observée durant la semaine écoulée, suite aux dispositions sécuritaires rigoureuses mises en œuvre par les autorités provinciales et la MONUSCO. Plusieurs malfrats ont ainsi été appréhendés et les habitants vaquent normalement à leurs activités quotidiennes.

La force de la MONUSCO continue de soutenir le dispositif de défense des FARDC établi autour et dans la ville de Goma, afin d'interdire toute tentative d'incursion du M23.

C'est pourquoi, des patrouilles d'intervention rapide continuent d'être déployées de jour et de nuit à travers la ville, dans le cadre du Plan de Protection Interne de Goma, dont l'objectif est de rassurer et protéger les populations civiles, mais également de tester les mesures de coordination et réévaluer le dispositif sécuritaire prévu à cet effet.

Les postes opérationnels de la Force de la MONUSCO déployées à Kibati et Mugunga contrôlent le terrain et mènent de patrouilles intensives dans le cadre de l'opération unilatérale « Nguvu ukuta » (Strong wall, Muraille renforcée).

Le 12 octobre 2012, un (01) suspect a été appréhendé par l'équipe conjointe de coordination des opérations MONUSCO-PNC (Police Nationale Congolaise), pour avoir lancé le 9 octobre 2012, une grenade dans le bar ''Nganda Bière'', dans le quartier Mapendo à Goma.

Le 13 octobre 2012, le poste opérationnel de la Force de la MONUSCO de Mpati a assuré la protection d'environ trois (3000) personnes fuyant les affrontements entre les FARDC et la coalition de la milice Samuel avec le groupe Badege dans les localités de Mpati et Busumba. Le bilan fait état de trois (03) miliciens tués.

Le 14 octobre 2012, le responsable de l'association féminine de Biruma a confirmé le pillage du centre de santé de Biruma, situé à 4 kilomètres au Nord-ouest de Katale, par un groupe d'éléments du M23, qui ont emporté les médicaments et des équipements importants.

Le 16 octobre 2012, une patrouille du bataillon Indien de la Force de la MONUSCO composée de dix-huit (18) personnes dont un (01) interprète, faisant mouvement de Nyamilima vers Ishasha, a découvert aux environ de 17 heures 30 quatre (04) cadavres le long de cet axe, à hauteur du village Buganza, situé à 10 kilomètres au Sud d'Ishasha. Aussitôt des patrouilles ont été lancées dans la zone jusqu'à 22 heures dans le but de sécuriser les populations civiles. C'est aux environs de 23 heurs 30, sur son itinéraire de retour à 2 kilomètres au Nord de Buganza, que la patrouille a essuyé des tirs en provenance d'hommes armés non identifiés. Suite aux échanges des tirs, six (06) Casques bleus indiens et un (01) interprète ont été blessés. Un renfort du poste opérationnel de Nyamilima fut immédiatement déployé sur le site et procédera à l'évacuation des blessés à l'hôpital de Nyamilima, d'où un hélicoptère de la Force de la MONUSCO procédera à leur évacuation médicale vers Goma.

Au chapitre des viols commis par le M23 dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu, entre le 8 et le 15 octobre 2012, deux (02) femmes et deux (02) filles ont été violées à Katale II, Bushenge et Changa. Les rapports signalent également d'autres cas de viols commis au village Nkiko, sans avancer le nombre précis de victimes.

Au chapitre des redditions dans cette province, cinq (05) éléments du M23 se sont rendus aux postes opérationnels de la MONUSCO de Kiwanja et de Katale ; et cinq (05) autres combattants FDLR-FOCA (Forces Combattantes Abacunguzi) se sont rendus avec une (01) arme AK-47 et des munitions, au poste opérationnel de la MONUSCO de Nyanzale, puis remis à la section DDRRR pour leur prise en compte.

En dépit d'un environnement sécuritaire volatile et imprévisible, caractérisé notamment par une recrudescence d'activités des FDLR dans la région de Kamituga, située à 25 kilomètres à l'Ouest de Mwenga, la situation sécuritaire au Sud-Kivu est restée sous le contrôle des Forces onusienne et congolaise la semaine dernière.