Kinshasa, jeudi 4 mai 2017 - La Division de l’Information publique de la MONUSCO a lancé, jeudi 4 mai 2017 à Kinshasa, une campagne de sensibilisation sur la résolution 2348 du Conseil de sécurité des Nations unies. La séance d’ouverture de la campagne, qui va s’étendre dans les prochains jours sur l’ensemble du territoire de la République démocratique du Congo, a connu la participation de 300 personnes venues de la société civile, des institutions supérieures et universitaites et des organisations de jeunes.

Les participants se sont imprégnés du contenu réel de la Résolution 2348, du mandat de bons offices assigné à la MONUSCO par le Conseil de sécurité ainsi que de l’esprit et de la lettre de l’Accord du 31 décembre 2016. Le directeur de la Division des Affaires politiques de la MONUSCO, le Commandant adjoint de la Force, le directeur du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme, le chef de la section Electorale et le Secrétaire général de la Conférence nationale épiscopale (CENCO) ont animé une conférence-débat tenue à cette occasion. Ils ont éclairé toutes les zones d’ombre sur la Résolution 2348 et l’Accord du 31 décembre 2016. 

« Il n’y a pas d’ambiguités entre la Résolution 2348 du Conseil de sécurité, le travail de bons offices de la MONUSCO, et  l’esprit et la lettre de l’Accord du 31 décembre 2016. Il est essentiel que la MONUSCO fixe l’opinion sur le mandat d’appui et de soutien qu’elle a reçu. Il importe que toutes les parties prenantes à l’accord du 31 décembre 2016 en République démocratique du Congo, y compris le Président Kabila, la majorité présidentielle et l’opposition respectent et mettent en œuvre  l’accord du 31 décembre 2016, en toute bonne foi et dans son intégralité », ont conclu tous les orateurs, paraphrasant les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Joseph Tshimanga