Brésil et MONUSCO appuient les autorités en Equateur dans la lutte contre les violences sexuelles

20 nov 2013

Brésil et MONUSCO appuient les autorités en Equateur dans la lutte contre les violences sexuelles

Mbandaka, 15 novembre 2013En partenariat avec le Gouvernement brésilien, le Bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), a remis vendredi 5 novembre 2013 à Mbandaka, chef-lieu de l’Equateur, un important lot de matériel de bureau aux responsables judiciaires de cette province, afin de leur permettre de mieux lutter contre le phénomène des violences sexuelles.

Il s’agit notamment de deux groupes électrogènes, de fournitures de bureau, et de meubles, destinés à équiper la cellule spécialisée dans la lutte contre les violences au Parquet de Grande instance et l'Unité de Police de Protection de l’Enfant et de Lutte contre les Violences Sexuelles (PPELVS) de Mbandaka.

 

Cet équipement a été fourni par le Gouvernement du Brésil dans le cadre de son projet d’appui à la lutte contre l’impunité entourant les violences sexuelles dans cette province, projet dont l’exécution est assurée par le Bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH).

 

La Commissaire responsable de l'Unité de Police de Protection de l’enfant et Lutte Contre les Violences Sexuelles (PPELVS), Joséphine BOKELE, a exprimé sa reconnaissance pour l’équipement reçu.

 

Le Bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme, une des divisions de la Mission de l’ONU pour la Stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) a prévu d’apporter le même appui aux autorités judiciaires du territoire de Gemena, dans le district du Sud-Ubangui, toujours dans la province de l’Equateur.

 

Ce projet du Gouvernement brésilien de lutte contre l’impunité en matière de violences sexuelles, projet dont l’exécution est assurée par le Bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme, est venu s’ajouter aux nombreux efforts que déploient l’ONU et d’autres partenaires pour soutenir les autorités congolaises afin d’éradiquer ce phénomène.

 

Jean-Tobie Okala/MONUSCO