Quand on lui demande ce qu’il y a de plus difficile dans son métier d’agent de circulation routière, elle répond non sans un sourire malicieux : « Rester debout de 7 heures à 17 heures ». Elle n’est pourtant pas nouvelle dans la profession.
Quand on lui demande ce qu’il y a de plus difficile dans son métier d’agent de circulation routière, elle répond non sans un sourire malicieux : « Rester debout de 7 heures à 17 heures ». Elle n’est pourtant pas nouvelle dans la profession.